16 avril 2010
Harlan Coben, Sans laisser d'adresse, lu par Sandrine
Ed. Belfond, coll. Noir, 348 p.
C'est un livre que j'ai dévoré, comme tous les Harlan Coben. Une histoire qui commence par un coup de fil de Paris vers.New York. Myron, bien connu des cobéniens, va rejoindre dans la capitale française, une vieille connaissance (si on peut l'appeler connaissance...), Terese, qui le supplie de l'aider. Et là, l'enfer commence, l'incompréhension, l'horreur...
Beau suspense qui nous tient jusqu'au bout.
Sandrine, 1513 p.
Publicité
Publicité
Commentaires