Alexis Curvers, Tempo di Roma, lu par Daniel
Bruxelles, Labor Littérature, 2008, 495 pages.
Rome, personnage de roman: l'auteur promène ici Jimmy, jeune homme d'origine belge ayant renoncé au métier des arts, qui se retrouve à Rome où il vit une vie de bohême en exerçant le métier de guide touristique. L'histoire est dense et complexe; elle fait alterner péripéties picaresques et pages méditatives, non sans oublier les gens (vraiment?), les lieux (mais qu'y a-t-il derrière?), tout en préservant jalousement le mystère de la Ville Eternelle. Et si ce mystère, c'était celui que chaque lecteur amoureux de Rome gardait dans son coeur, finalement?
J'en parle plus amplement ici: http://fattorius.over-blog.com/article-comme-un-chirico-levant-le-voile-sur-l-insaisissable-rome-62764385.html
Daniel, 24145 p.