Joy Sorman, Gros oeuvre, lu par Daniel

Paris, Gallimard, 2009, 183 pages. 

Treize nouvelles composent ce recueil qui invite le lecteur à se poser la question de la signification de son habitat. Les exemples sont fort divers, de l'algeco de chantier jusqu'à la demeure d'artiste, en passant par la maison familiale. Le lecteur est ici frappé par le dynamisme vertigineux de la prose, qui ménage cependant des pauses de sérénité voire de tendresse, par exemple dans "La vie tzigane", portrait-hommage de la prostituée genevoise Grisélidis Réal.
    
J'en parle plus amplement ici: http://fattorius.over-blog.com/article-construire-et-habiter-selon-joy-sorman-63879939.html

Daniel, 25685 p.