30 mars 2011
Mélanie Vincelette, Polynie, lu par Daniel
Paris, Robert Laffont, 2011, 211 p.
"Polynie" endosse les apparences d'un roman policier, avec un cadavre mis en scène dès les premières pages. Mais l'auteur part de cette base pour faire voyager son lecteur dans des domaines très différents qui font réfléchir - avant tout les relations avec ces personnes proches qu'on croit connaître; mais est-ce vraiment le cas? En arrière-plan, se dessine par ailleurs les questions des relations internationales, des liens entre Inuit et Canadiens, des relations entre l'homme et la nature, voire de l'écologie. Roman engagé, alors? La question est pertinente et mérite débat...
J'en parle plus longuement ici.
Daniel, 5644 p.
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