3 août 2011
Sylvie Doizelet, Nos amis des confins, lu par Daniel
Paris, Seuil, 2009, 140 p.
Il y a dans "Nos amis des confins" un côté à la fois étrange et attachant. Le tout se passe dans une petite ville à l'est de Londres, bien nommée Grays (ce qui suggère le gris), qui constitue pour ainsi dire une autre planète propice à la naissance d'histoires de fantômes. A moins que les fantômes ne soient les habitants eux-mêmes? Le tout est porté par un style qui privilégie le dialogue et les ambiances de flou artistique. Joli!
J'en parle plus longuement ici.
Daniel, 15521 p.
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