Titiou Lecoq, Les Morues, lu par Daniel
Vauvert, Au Diable Vauvert, 2011, 451 p.
Premier roman à nouveau... et qui a fait parler de lui dans le cadre de la rentrée littéraire 2011. J'ai rencontré l'auteur, qui m'a convaincu, à la Fête du Livre de Saint-Etienne, de goûter à ses "Morues". Test concluant, par-delà les forces et faiblesses: l'auteur sait manifestement tout faire, avec des bonheurs divers. Ainsi ce roman prend-il tour à tour des allures de chick lit, de critique sociale et politique, de roman policier et de comédie de moeurs façon "Friends". L'idée? Ema se demande si sa meilleure amie, Charlotte, s'est vraiment suicidée: ça lui ressemble si peu! Quelques éléments (dont l'éventualité d'une privatisation des musées de France, et en particulier du Louvre) lui suffisent pour concevoir la possibilité d'autre chose. Quelques bémols sur la vision de la RGPP - mais au final, c'est un très bon premier roman, intelligent et dynamique.
J'en parle aussi ici.
Daniel, 4363 p.