Mark Allen Smith, L'Inquisiteur, lu par Daniel
Paris, Best-sellers/Robert Laffont, 2013, 376 p.
Un thriller qui met mal à l'aise, qui chasse le lecteur de sa zone de confort en mettant en scène, dans un rôle présenté comme celui du gentil, un bourreau/tortionnaire nommé Geiger et surnommé "L'Inquisiteur". On le voit à l'action, avant de le voir agir pour sauver un enfant: l'homme a des principes. Globalement du reste, l'un des tours de force de ce roman consiste justement à montrer la forte part d'humain qu'il y a dans le personnage de Geiger - un homme qui consulte un psy (ce qui va lui resservir plus tard...), qui est habile de ses mains, aime la musique classique et son chat borgne. Un premier roman accrocheur, sous des atours empreints d'une fausse simplicité.
J'en parle plus longuement ici.
Daniel, 1155 p.