16 mars 2013
Cyril Montana, Je nous trouve beaux, lu par Daniel
Paris, Albin Michel, 2013, 189 p.
La forme de ce texte n'est pas forcément celle d'un roman classique avec une intrigue qui se noue au début et se dénoue à la fin. Il s'agit plutôt d'une succession de flashes de la vie d'un quadragénaire comme il y en a tant aujourd'hui, qui mène sa barque mais s'avère singulièrement immature par certains aspects. Et c'est aussi un récit sur la recherche de repères. Rédigé à la première personne, le texte est extrêmement vivant et dynamique, et se dévore donc.
J'en parle plus longuement ici.
Daniel, 6089 p.
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