5 mai 2013
Marc Villard, Avoir les boules à Istanbul, lu par Daniel
Nantes, L'Atalante, 2012, 95 p.
Construit sur le mode d'un journal prétexte, ce petit roman relate les tribulations quotidiennes d'un écrivain en résidence. L'ouvrage est drôle parfois, mais surtout ironique et grinçant, et constitue une épure fort bien troussée des petits travers des écrivains, enfin démystifiés. On aurait même aimé en avoir un peu plus...
J'en parle davantage ici.
Daniel, 9338 p.
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