Elizabeth George, Mémoire infidèle, lu par Daniel

Paris, Presses Pocket, 2004, 984 p.

L'inspecteur Lynley et son équipe sont lancés sur la piste d'un crime assez odieux en son genre, survenu en ville de Londres: une petite vieille est intentionnellement écrasée par une voiture. Cela conduit les policiers à dénouer un noeud familial complexe où se trouvent, entre autres, une nounou est-allemande, un violoniste soudain incapable de jouer de son instrument, un patriarche qui a pris une amante. Là autour, vient se greffer un internaute pervers dénommé Langue de Velours et quelques autres bonshommes. On le comprend: c'est compliqué... et c'est surtout long, très long. Un rien déçu par ma lecture, donc, d'autant que l'auteur ne fait pas grand-chose pour dynamiser son récit.

J'en parle plus amplement ici: http://fattorius.over-blog.com/article-memoire-courte-long-roman-48367364.html

Daniel, 6949 p.