18 avril 2010
Natalie Carter, Valdingue, lu par Daniel
Paris, Robert Laffont, 2006, 141 p.
Antonin, 13 ans, incendie la maison de son grand-père, et le grand-père avec. Dès lors, le voilà en cavale, puis recueilli par une femme qui s'obstine à l'appeler Alexandre. Etrange! Le récit est structuré en quatre parties qui sont autant de voix; du point de vue formel, c'est admirablement mené, en particulier la gestion des différentes oralités des personnages. Mais j'ai dû louper un ou deux virages qui m'ont empêché de pleinement savourer ce bref récit.
J'en parle plus amplement ici: http://fattorius.over-blog.com/article-valdingue-a-quatre-temps-48861525.html
Daniel, 7442 p.
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