28 avril 2011
Pablo de Santis, La Traduction, lu par Daniel
Paris, Métailié, 2004, 154 p.
L'auteur met en scène un congrès de traducteurs qui se tient à Port-au-Sphinx, un lieu improbable en Argentine. Là-dessus, il ajoute une intrigue criminelle et une histoire d'amour - juste pour faire avancer le schmilblick: l'essentiel de l'histoire réside en effet sur une interrogation sur le rapport aux langues étrangères, parfois byzantine je l'admets, mais aussi volontiers ludique, à la manière d'un Jorge Luis Borges. Ce livre aurait mérité d'être un chouïa plus long, mais il est suffisamment dense pour faire plaisir à un lecteur de fond, volontiers cannibale...
J'en parle plus longuement ici.
Daniel, 7840 p.
Publicité
Publicité
Commentaires