Jean-Jacques Reboux, Poste Mortem, lu par Daniel

Paris, La Baleine/Folio Policier, 1998/2005, 489 p.   

Dominique Strauss-Kahn otage: non, ce n'est pas l'actualité, mais bien le propos de ce roman policier mené tambour battant par un Jean-Jacques Reboux décidément inspiré. C'est écrit de manière délirante, dans une oralité échevelée, et le lecteur se marre à plus d'une reprise. Cela, non sans dresser un état des lieux de La Poste, puisque c'est là que l'intrigue se tient; l'auteur connaît du reste plutôt bien l'inspiration, ce qui lui permet de jouer la carte de l'observation fine. Délirant, excellent!

J'en parle plus longuement ici.    

Daniel, 9911 p.