Alexandra Fuller, L'arbre de l'oubli, lu par Daniel
Paris, Editions des 2 terres, 2012, 329 p.
Lu sur un exemplaire d'épreuves non corrigées.
"L'arbre de l'oubli" prend la forme de mémoires, si romanesques cependant que le lecteur est en droit de se demander quelle est la part du réel et quelle est la part de recréation, voire d'invention. Non exempt de longueur, ce récit balade son lecteur dans les terres de l'Afrique australe: Rhodésie, Kenya, Afrique du Sud, etc., au temps de la fin de la colonisation anglaise. Sur ce fond historique parfois dépeint en d'instructives pages d'histoire, se dessine le portrait de Nicola, mère de l'auteur, figure excentrique et emblème d'une famille à l'héréditée intéressante et chargée. A suivre... pour les lecteurs qui goûtent les ambiances africaines, les récits de la vie, de ses grands échecs, de ses drames irratrappables et de ses petits succès.
J'en parle plus longuement ici.
Daniel, 5230 p.