20 juillet 2012
Olivier Bernabé, A la santé d'Henry Miller, lu par Daniel
Paris, Persée, 2011, 319 p.
La Confrérie avait parlé de ce roman, et je l'ai reçu via le blog... une découverte qui intrigue! Ainsi donc, lors d'un mariage, le narrateur se retrouve à côté de son ange gardien qui va catalyser sa crise de la quarantaine! L'ouvrage est porté par la faconde diserte (et volontiers redondante, quitte à faire longuet) du narrateur, misanthrope patenté avec lequel le lecteur devra bien composer. S'il s'écoute parfois un peu parler, l'auteur a la grande force de savoir créer des personnages et de leur donner suffisamment d'épaisseur, même lorsqu'ils sont secondaires.
J'en parle aussi ici.
Daniel, 10782 p.
Publicité
Publicité
Commentaires