11 novembre 2012
Alain Besançon, Emile et les menteurs, lu par Daniel
Paris, De Fallois, 2008, 197 p.
C'est un joli roman qui va vite, quitte à se payer quelques approximations: un cadre supérieur se retrouve à devoir assumer des responsabilités qu'il a prises un peu à la légère, conscient d'être le patron d'une coquille vide. Résultat: le récit fait voyager le lecteur, dans un propos quasi picaresque qui, par certains aspects, ressemble à un roman d'apprentissage en milieu hostile: force est de constater, pour le lecteur, qu'aucun des personnages qui entourent le personnage principal - le fameux Emile Fouzillon - n'est totalement digne de confiance.
J'en parle plus amplement ici.
Daniel, 19217 p.
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