5 janvier 2013
Roy Lewis, Pourquoi j'ai mangé mon père, lu par Catherine
Pocket, 181 pages.
Le narrateur, Ernest, raconte sa vie de famille préhistorique, et en particulier la vie de son père, Edouard, en avance sur son temps, puisqu'il n'est jamais à court d'idées pour évoluer. Ce roman, très drôle (truffé d'anachronismes de langage notamment), parle en effet de l'évolution. D'invention en invention (le silex pour faire le feu, la cuisson de la viande, etc.), la famille d'Ernest progresse et nous fait nous interroger sur les progrès actuels de la science et leurs éventuels dangers ou impacts sur le monde. Un roman de 1960 toujours d'actualité !
Catherine, 181 pages.
Publicité
Publicité
Commentaires
C
D