26 avril 2011
Bastien Fournier, Le cri de Riehmers Hofgarten, lu par Daniel
Charmey, L'Hèbe, 2010, 156 p.
Simon se fait larguer par son amie Aélia, qui a choisi entre la musique et lui. Ce roman constitue dès lors le cri inaudible d'un homme éconduit, observé de manière précise, avec un regard affûté. Le tout est porté par un style poétique et particulièrement travaillé, où l'on sent que chaque option stylistique est mûrement réfléchie: répétitions, longueurs de phrases et de chapitres, etc. L'auteur fait preuve d'une voix d'une profonde originalité.
J'en parle plus longuement ici.
Daniel, 7686 p.
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