Mamadou Mahmoud N'Dongo, La géométrie des variables, lu par Daniel

Paris, Gallimard/Continents noirs, 2010, 302 p.   

Ce roman révèle le petit monde des communicants et faiseurs de pluie qui gravitent dans l'ombre des personnalités politiques célèbres. On se retrouve donc dans un récit dont les personnages sont pétris de cynisme et un tantinet désabusés; ils se confessent au travers de monologues ou de dialogues rapides, déclinés en chapitres courts qui rythment le récit. C'est bien la peinture de ces caractères qui intéresse l'auteur, plus que les anecdotes croustillantes liées aux élections. A découvrir dans cet esprit, donc. 

J'en parle plus amplement ici.
   
Daniel, 17251 p.